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Khelcom: Modèle d’exploitation agricole, laboratoire humain de Serigne Saliou

Sen24.info – (Dakar) La seule évocation de son nom renvoie à une seule personne. Les 45 000 hectares de la forêt classée de Mbégué (déclassée en 1991) lui collent à la peau. Quand la bouche s’occupe à articuler les sept lettres de l’alphabet pour exprimer «Khelcom», l’esprit cherche un visage. Seulement, il ne trouve qu’un nom à chaque fois : Serigne Saliou Mbacké, cinquième Khalife de Serigne Touba.
Avec un réseau de canalisation, quatre forages avec un puits de 290 mètres de profondeur, des magasins de stockage et des pistes de production pour acheminer les récoltes. Un investissement de plus de 4 milliards de Fcfa qui comprend également les matériels agricoles, notamment des machines de travail de sol. De quoi faire de Khelcom un véritable grenier capable de nourrir plus de 12 000 talibés, des apprenants du coran auxquels «on interdit de mendier». Car, Khelcom qui est avant tout un centre culturel d’enseignement aux valeurs religieuses musulmanes, produit suffisamment pour nourrir tous les «talibés», toute l’année.

La seule évocation de son nom renvoie à une seule personne. Les 45 000 hectares de la forêt classée de Mbégué (déclassée en 1991) lui collent à la peau. Quand la bouche s’occupe à articuler les sept lettres de l’alphabet pour exprimer «Khelcom», l’esprit cherche un visage. Seulement, il ne trouve qu’un nom à chaque fois : Serigne Saliou Mbacké, cinquième Khalife de Serigne Touba.
Avec un réseau de canalisation, quatre forages avec un puits de 290 mètres de profondeur, des magasins de stockage et des pistes de production pour acheminer les récoltes. Un investissement de plus de 4 milliards de Fcfa qui comprend également les matériels agricoles, notamment des machines de travail de sol. De quoi faire de Khelcom un véritable grenier capable de nourrir plus de 12 000 talibés, des apprenants du coran auxquels «on interdit de mendier». Car, Khelcom qui est avant tout un centre culturel d’enseignement aux valeurs religieuses musulmanes, produit suffisamment pour nourrir tous les «talibés», toute l’année.

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