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Sen24.info – (Dakar) « Dans sa publication de ce vendredi, 22 octobre 2021, Mame Boye Diao fait l’objet d’attaque venant du quotidien, l’Evidence : «Plaintes et complaintes, Mic-Mac sur le Foncier national», avec la photo du Directeur des Domaines à la Une.
Or, dans le corps du texte, aucun paragraphe ne montre avec suffisance les manquements du Directeur des Domaines dans l’exercice de ses fonctions de Directeur des Domaines. Ce qui justifie l’acharnement, la haine, la diffamation contre un honnête citoyen.
Depuis, sa nomination à la Direction des Domaines, force est de reconnaître que Mame Boye DIAO fait l’objet d’attaques et de critiques récurrentes mais gratuites et sans fondement. Et l’on devine aisément que les auteurs sont des sycophantes, qui se cachent sournoisement derrière des publications pour dévoyer la conscience des sénégalais et jeter l’opprobre sur un Responsable politique de la Région de Kolda, qui n’a d’yeux sur le plan politique que pour son mentor, le Président Macky Sall.
Car, dans le passé, il a été cité dans une affaire foncière du littoral de Dakar qu’il aurait cédé à des hommes bien placés du gouvernement sans aucune raison !
Avec les choix du Chef de l’Etat pour les élections Locales, les démons ont repris du service pour ternir le nom d’un digne fils de la Casamance. Monsieur Diao reste et restera toujours une fierté pour les sénégalais, mais aussi pour son terroir pour lequel il se bat pour en faire une localité émergente.
Qu’à cela ne tienne ! Ces attaques agitées par des contempteurs en manque criard d’idées et de programmes, ne sauraient le faire dévier de son chemin. Mame Boye Diao travaille inlassablement pour le triomphe du Président de la République et de Benno Bokk Yakaar aux prochaines Municipales.
Désormais, rien ne se passera comme avant. Nous avertissons toutes ces personnes malintentionnées que la fin de la récréation est finie. Nous nous érigeons en bouclier pour non seulement démasquer ces personnes qui portent le masque, mais aussi, porter la réplique à la hauteur de la provocation.
Trop, c’est trop… ».
Sekou Diatta, cadre Casamançais
